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[MEMOIRE] Ce jour-là 1er janvier 1804, Haïti devenait indépendante
Jan 1 Jour entier

Plus de douze ans après le soulèvement initial, les compagnons de Toussaint Louverture et les « sang-mêlés », proclamaient l’indépendance d’Haïti le 1er janvier 1804. La France, ne retenant que le massacre des Européens qui s’ensuivit, et se consolant dans l’exaltation de nouvelles théories « raciales » à prétention scientifique, garda jusqu’en 1825 l’espoir d’une revanche. Elle y renonça finalement contre 150 millions de francs-or, une indemnité écrasante censée rembourser les anciens colons des esclaves et des terres qu’ils avaient perdus. Haïti, déjà saignée par la guerre, mit plus de cent ans à s’acquitter de ce lourd tribut. La France mit plus longtemps encore à pardonner à ce jeune état antillais de lui avoir infligé sa première défaite coloniale et à reconnaître que l’esclavage était un crime imprescriptible contre l’Humanité. Malgré tant de blessures, Haïti, république africaine au cœur de l’Amérique, n’a jamais renoncé à parler le français.
Texte de Clade RIBBE Source : francearchives.fr

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[MEMOIRE] Ce jour-là 1er janvier 1804, Haïti devenait indépendante
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Plus de douze ans après le soulèvement initial, les compagnons de Toussaint Louverture et les « sang-mêlés », proclamaient l’indépendance d’Haïti le 1er janvier 1804. La France, ne retenant que le massacre des Européens qui s’ensuivit, et se consolant dans l’exaltation de nouvelles théories « raciales » à prétention scientifique, garda jusqu’en 1825 l’espoir d’une revanche. Elle y renonça finalement contre 150 millions de francs-or, une indemnité écrasante censée rembourser les anciens colons des esclaves et des terres qu’ils avaient perdus. Haïti, déjà saignée par la guerre, mit plus de cent ans à s’acquitter de ce lourd tribut. La France mit plus longtemps encore à pardonner à ce jeune état antillais de lui avoir infligé sa première défaite coloniale et à reconnaître que l’esclavage était un crime imprescriptible contre l’Humanité. Malgré tant de blessures, Haïti, république africaine au cœur de l’Amérique, n’a jamais renoncé à parler le français.
Texte de Clade RIBBE Source : francearchives.fr

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Plus de douze ans après le soulèvement initial, les compagnons de Toussaint Louverture et les « sang-mêlés », proclamaient l’indépendance d’Haïti le 1er janvier 1804. La France, ne retenant que le massacre des Européens qui s’ensuivit, et se consolant dans l’exaltation de nouvelles théories « raciales » à prétention scientifique, garda jusqu’en 1825 l’espoir d’une revanche. Elle y renonça finalement contre 150 millions de francs-or, une indemnité écrasante censée rembourser les anciens colons des esclaves et des terres qu’ils avaient perdus. Haïti, déjà saignée par la guerre, mit plus de cent ans à s’acquitter de ce lourd tribut. La France mit plus longtemps encore à pardonner à ce jeune état antillais de lui avoir infligé sa première défaite coloniale et à reconnaître que l’esclavage était un crime imprescriptible contre l’Humanité. Malgré tant de blessures, Haïti, république africaine au cœur de l’Amérique, n’a jamais renoncé à parler le français.
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Plus de douze ans après le soulèvement initial, les compagnons de Toussaint Louverture et les « sang-mêlés », proclamaient l’indépendance d’Haïti le 1er janvier 1804. La France, ne retenant que le massacre des Européens qui s’ensuivit, et se consolant dans l’exaltation de nouvelles théories « raciales » à prétention scientifique, garda jusqu’en 1825 l’espoir d’une revanche. Elle y renonça finalement contre 150 millions de francs-or, une indemnité écrasante censée rembourser les anciens colons des esclaves et des terres qu’ils avaient perdus. Haïti, déjà saignée par la guerre, mit plus de cent ans à s’acquitter de ce lourd tribut. La France mit plus longtemps encore à pardonner à ce jeune état antillais de lui avoir infligé sa première défaite coloniale et à reconnaître que l’esclavage était un crime imprescriptible contre l’Humanité. Malgré tant de blessures, Haïti, république africaine au cœur de l’Amérique, n’a jamais renoncé à parler le français.
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Plus de douze ans après le soulèvement initial, les compagnons de Toussaint Louverture et les « sang-mêlés », proclamaient l’indépendance d’Haïti le 1er janvier 1804. La France, ne retenant que le massacre des Européens qui s’ensuivit, et se consolant dans l’exaltation de nouvelles théories « raciales » à prétention scientifique, garda jusqu’en 1825 l’espoir d’une revanche. Elle y renonça finalement contre 150 millions de francs-or, une indemnité écrasante censée rembourser les anciens colons des esclaves et des terres qu’ils avaient perdus. Haïti, déjà saignée par la guerre, mit plus de cent ans à s’acquitter de ce lourd tribut. La France mit plus longtemps encore à pardonner à ce jeune état antillais de lui avoir infligé sa première défaite coloniale et à reconnaître que l’esclavage était un crime imprescriptible contre l’Humanité. Malgré tant de blessures, Haïti, république africaine au cœur de l’Amérique, n’a jamais renoncé à parler le français.
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Plus de douze ans après le soulèvement initial, les compagnons de Toussaint Louverture et les « sang-mêlés », proclamaient l’indépendance d’Haïti le 1er janvier 1804. La France, ne retenant que le massacre des Européens qui s’ensuivit, et se consolant dans l’exaltation de nouvelles théories « raciales » à prétention scientifique, garda jusqu’en 1825 l’espoir d’une revanche. Elle y renonça finalement contre 150 millions de francs-or, une indemnité écrasante censée rembourser les anciens colons des esclaves et des terres qu’ils avaient perdus. Haïti, déjà saignée par la guerre, mit plus de cent ans à s’acquitter de ce lourd tribut. La France mit plus longtemps encore à pardonner à ce jeune état antillais de lui avoir infligé sa première défaite coloniale et à reconnaître que l’esclavage était un crime imprescriptible contre l’Humanité. Malgré tant de blessures, Haïti, république africaine au cœur de l’Amérique, n’a jamais renoncé à parler le français.
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Plus de douze ans après le soulèvement initial, les compagnons de Toussaint Louverture et les « sang-mêlés », proclamaient l’indépendance d’Haïti le 1er janvier 1804. La France, ne retenant que le massacre des Européens qui s’ensuivit, et se consolant dans l’exaltation de nouvelles théories « raciales » à prétention scientifique, garda jusqu’en 1825 l’espoir d’une revanche. Elle y renonça finalement contre 150 millions de francs-or, une indemnité écrasante censée rembourser les anciens colons des esclaves et des terres qu’ils avaient perdus. Haïti, déjà saignée par la guerre, mit plus de cent ans à s’acquitter de ce lourd tribut. La France mit plus longtemps encore à pardonner à ce jeune état antillais de lui avoir infligé sa première défaite coloniale et à reconnaître que l’esclavage était un crime imprescriptible contre l’Humanité. Malgré tant de blessures, Haïti, république africaine au cœur de l’Amérique, n’a jamais renoncé à parler le français.
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Plus de douze ans après le soulèvement initial, les compagnons de Toussaint Louverture et les « sang-mêlés », proclamaient l’indépendance d’Haïti le 1er janvier 1804. La France, ne retenant que le massacre des Européens qui s’ensuivit, et se consolant dans l’exaltation de nouvelles théories « raciales » à prétention scientifique, garda jusqu’en 1825 l’espoir d’une revanche. Elle y renonça finalement contre 150 millions de francs-or, une indemnité écrasante censée rembourser les anciens colons des esclaves et des terres qu’ils avaient perdus. Haïti, déjà saignée par la guerre, mit plus de cent ans à s’acquitter de ce lourd tribut. La France mit plus longtemps encore à pardonner à ce jeune état antillais de lui avoir infligé sa première défaite coloniale et à reconnaître que l’esclavage était un crime imprescriptible contre l’Humanité. Malgré tant de blessures, Haïti, république africaine au cœur de l’Amérique, n’a jamais renoncé à parler le français.
Texte de Clade RIBBE Source : francearchives.fr