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Fév
8
sam
[MEMOIRE] 8 février 1962 : massacre de Charonne à Paris
Fév 8 Jour entier

L’affaire de la station de métro Charonne est une affaire de violence policière qui a eu lieu le 8 février 1962, dans la station de métro Charonne à Paris, à l’encontre de personnes manifestant contre l’OAS et la guerre d’Algérie.

Étant donné le contexte des plus tendus et l’état d’urgence décrété en avril 1961 après le putsch d’Alger, la manifestation, organisée par le Parti communiste français et d’autres organisations de gauche, avait en effet été interdite, et le préfet de police de Paris, Maurice Papon, avait donné l’ordre de la réprimer, avec l’accord du ministre de l’Intérieur, Roger Frey, et du président de la République, Charles de Gaulle. (Source Wikipedia)

Fév
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dim
[MEMOIRE] 8 février 1962 : massacre de Charonne à Paris
Fév 8 Jour entier

L’affaire de la station de métro Charonne est une affaire de violence policière qui a eu lieu le 8 février 1962, dans la station de métro Charonne à Paris, à l’encontre de personnes manifestant contre l’OAS et la guerre d’Algérie.

Étant donné le contexte des plus tendus et l’état d’urgence décrété en avril 1961 après le putsch d’Alger, la manifestation, organisée par le Parti communiste français et d’autres organisations de gauche, avait en effet été interdite, et le préfet de police de Paris, Maurice Papon, avait donné l’ordre de la réprimer, avec l’accord du ministre de l’Intérieur, Roger Frey, et du président de la République, Charles de Gaulle. (Source Wikipedia)

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[MEMOIRE] 8 février 1962 : massacre de Charonne à Paris
Fév 8 Jour entier

L’affaire de la station de métro Charonne est une affaire de violence policière qui a eu lieu le 8 février 1962, dans la station de métro Charonne à Paris, à l’encontre de personnes manifestant contre l’OAS et la guerre d’Algérie.

Étant donné le contexte des plus tendus et l’état d’urgence décrété en avril 1961 après le putsch d’Alger, la manifestation, organisée par le Parti communiste français et d’autres organisations de gauche, avait en effet été interdite, et le préfet de police de Paris, Maurice Papon, avait donné l’ordre de la réprimer, avec l’accord du ministre de l’Intérieur, Roger Frey, et du président de la République, Charles de Gaulle. (Source Wikipedia)