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Le Cinéma L’Arlequin à Paris accueille la 11ème édition du festival Nollywoodweek qui a pour but de rendre visible le cinéma nigérian et plus globalement le cinéma africain. Du 2 au 5 mai 2024, des projections, de courts et longs métrages, des rencontres professionnelles et des tables-rondes sont au programme.
Le Cinéma L’Arlequin à Paris accueille la 11ème édition du festival Nollywoodweek qui a pour but de rendre visible le cinéma nigérian et plus globalement le cinéma africain. Du 2 au 5 mai 2024, des projections, de courts et longs métrages, des rencontres professionnelles et des tables-rondes sont au programme.
Depuis le début des années 1960, de nombreux pays d’Afrique sub-saharienne marqués par les luttes pour l’indépendance comme le Burkina Faso, le Cameroun, la Côte d’Ivoire ou le Sénégal ont considérablement développé leur production cinématographique, avec des infrastructures et moyens restreints, mais une inventivité certaine. Ces films sont autant de symboles de réappropriation d’un territoire, une affirmation de cultures autant qu’une parole éducative.
Bien que ces œuvres, belles, atypiques dans la production mondiale et historiquement capitales, aient donné naissance à de grands auteurs (Ousmane Sembène, Djibril Diop Mambéty ou Souleymane Cissé), les films, eux, n’ont pas toujours trouvé le chemin des salles obscures françaises.
Le Cinéma L’Arlequin à Paris accueille la 11ème édition du festival Nollywoodweek qui a pour but de rendre visible le cinéma nigérian et plus globalement le cinéma africain. Du 2 au 5 mai 2024, des projections, de courts et longs métrages, des rencontres professionnelles et des tables-rondes sont au programme.
Depuis le début des années 1960, de nombreux pays d’Afrique sub-saharienne marqués par les luttes pour l’indépendance comme le Burkina Faso, le Cameroun, la Côte d’Ivoire ou le Sénégal ont considérablement développé leur production cinématographique, avec des infrastructures et moyens restreints, mais une inventivité certaine. Ces films sont autant de symboles de réappropriation d’un territoire, une affirmation de cultures autant qu’une parole éducative.
Bien que ces œuvres, belles, atypiques dans la production mondiale et historiquement capitales, aient donné naissance à de grands auteurs (Ousmane Sembène, Djibril Diop Mambéty ou Souleymane Cissé), les films, eux, n’ont pas toujours trouvé le chemin des salles obscures françaises.
Depuis le début des années 1960, de nombreux pays d’Afrique sub-saharienne marqués par les luttes pour l’indépendance comme le Burkina Faso, le Cameroun, la Côte d’Ivoire ou le Sénégal ont considérablement développé leur production cinématographique, avec des infrastructures et moyens restreints, mais une inventivité certaine. Ces films sont autant de symboles de réappropriation d’un territoire, une affirmation de cultures autant qu’une parole éducative.
Bien que ces œuvres, belles, atypiques dans la production mondiale et historiquement capitales, aient donné naissance à de grands auteurs (Ousmane Sembène, Djibril Diop Mambéty ou Souleymane Cissé), les films, eux, n’ont pas toujours trouvé le chemin des salles obscures françaises.
Projection du film « Epines du Sahel» du réalisateur Aboubakar DIALLO, suivi d’un débat avec la présence de l’actrice principale Djamila Barry.
Synopsis :
Dans un Sahel dévasté par les attentats terroristes. Forcée de fuir son village, Naïma est contrainte de trouver refuge dans un camp pour déplacés. A la recherche de Saïd, son frère disparu, la jeune femme finit par retrouver sa trace. Mais elle comprend rapidement que ce dernier est passé du mauvais côté.
Depuis le début des années 1960, de nombreux pays d’Afrique sub-saharienne marqués par les luttes pour l’indépendance comme le Burkina Faso, le Cameroun, la Côte d’Ivoire ou le Sénégal ont considérablement développé leur production cinématographique, avec des infrastructures et moyens restreints, mais une inventivité certaine. Ces films sont autant de symboles de réappropriation d’un territoire, une affirmation de cultures autant qu’une parole éducative.
Bien que ces œuvres, belles, atypiques dans la production mondiale et historiquement capitales, aient donné naissance à de grands auteurs (Ousmane Sembène, Djibril Diop Mambéty ou Souleymane Cissé), les films, eux, n’ont pas toujours trouvé le chemin des salles obscures françaises.
Depuis le début des années 1960, de nombreux pays d’Afrique sub-saharienne marqués par les luttes pour l’indépendance comme le Burkina Faso, le Cameroun, la Côte d’Ivoire ou le Sénégal ont considérablement développé leur production cinématographique, avec des infrastructures et moyens restreints, mais une inventivité certaine. Ces films sont autant de symboles de réappropriation d’un territoire, une affirmation de cultures autant qu’une parole éducative.
Bien que ces œuvres, belles, atypiques dans la production mondiale et historiquement capitales, aient donné naissance à de grands auteurs (Ousmane Sembène, Djibril Diop Mambéty ou Souleymane Cissé), les films, eux, n’ont pas toujours trouvé le chemin des salles obscures françaises.
Depuis le début des années 1960, de nombreux pays d’Afrique sub-saharienne marqués par les luttes pour l’indépendance comme le Burkina Faso, le Cameroun, la Côte d’Ivoire ou le Sénégal ont considérablement développé leur production cinématographique, avec des infrastructures et moyens restreints, mais une inventivité certaine. Ces films sont autant de symboles de réappropriation d’un territoire, une affirmation de cultures autant qu’une parole éducative.
Bien que ces œuvres, belles, atypiques dans la production mondiale et historiquement capitales, aient donné naissance à de grands auteurs (Ousmane Sembène, Djibril Diop Mambéty ou Souleymane Cissé), les films, eux, n’ont pas toujours trouvé le chemin des salles obscures françaises.