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L’Assemblée générale des Nations Unies a institué le 21 mars comme Journée internationale pour l’élimination de la discrimination raciale en 1966. Cette journée commémore le massacre de 69 manifestants pacifiques contre les lois de l’apartheid, le 21 mars 1960 à Sharpeville en Afrique du Sud.
Gaston Monnerville, né le 2 janvier 1897 à Cayenne (Guyane) et mort le 7 novembre 1991 à Paris, est un homme d’État français.
Député de la Guyane de 1932 à 1940, il est sous-secrétaire d’État aux Colonies de 1937 à 1938, président du Conseil de la République de 1947 à 1958 et du Sénat de 1958 à 1968. Gaston Monnerville, petit-fils d’un esclave2,3, est le fils de Marc Saint-Yves Monnerville, fonctionnaire de l’administration coloniale4, et de Marie-Françoise Orville. Des côtés maternel et paternel, la famille est originaire de Case-Pilote, commune de la Martinique. Son grand-père paternel, Pierre Monnerville, est un commerçant propriétaire, maire de Case-pilote, puis conseiller général de Martinique5. Son frère, Pierre Monnerville, est également engagé en politique, étant député socialiste de 1956 à 1967. (Source : Wikipedia)
L’Assemblée générale des Nations Unies a institué le 21 mars comme Journée internationale pour l’élimination de la discrimination raciale en 1966. Cette journée commémore le massacre de 69 manifestants pacifiques contre les lois de l’apartheid, le 21 mars 1960 à Sharpeville en Afrique du Sud.
Gaston Monnerville, né le 2 janvier 1897 à Cayenne (Guyane) et mort le 7 novembre 1991 à Paris, est un homme d’État français.
Député de la Guyane de 1932 à 1940, il est sous-secrétaire d’État aux Colonies de 1937 à 1938, président du Conseil de la République de 1947 à 1958 et du Sénat de 1958 à 1968. Gaston Monnerville, petit-fils d’un esclave2,3, est le fils de Marc Saint-Yves Monnerville, fonctionnaire de l’administration coloniale4, et de Marie-Françoise Orville. Des côtés maternel et paternel, la famille est originaire de Case-Pilote, commune de la Martinique. Son grand-père paternel, Pierre Monnerville, est un commerçant propriétaire, maire de Case-pilote, puis conseiller général de Martinique5. Son frère, Pierre Monnerville, est également engagé en politique, étant député socialiste de 1956 à 1967. (Source : Wikipedia)
L’Assemblée générale des Nations Unies a institué le 21 mars comme Journée internationale pour l’élimination de la discrimination raciale en 1966. Cette journée commémore le massacre de 69 manifestants pacifiques contre les lois de l’apartheid, le 21 mars 1960 à Sharpeville en Afrique du Sud.
Gaston Monnerville, né le 2 janvier 1897 à Cayenne (Guyane) et mort le 7 novembre 1991 à Paris, est un homme d’État français.
Député de la Guyane de 1932 à 1940, il est sous-secrétaire d’État aux Colonies de 1937 à 1938, président du Conseil de la République de 1947 à 1958 et du Sénat de 1958 à 1968. Gaston Monnerville, petit-fils d’un esclave2,3, est le fils de Marc Saint-Yves Monnerville, fonctionnaire de l’administration coloniale4, et de Marie-Françoise Orville. Des côtés maternel et paternel, la famille est originaire de Case-Pilote, commune de la Martinique. Son grand-père paternel, Pierre Monnerville, est un commerçant propriétaire, maire de Case-pilote, puis conseiller général de Martinique5. Son frère, Pierre Monnerville, est également engagé en politique, étant député socialiste de 1956 à 1967. (Source : Wikipedia)
L’Assemblée générale des Nations Unies a institué le 21 mars comme Journée internationale pour l’élimination de la discrimination raciale en 1966. Cette journée commémore le massacre de 69 manifestants pacifiques contre les lois de l’apartheid, le 21 mars 1960 à Sharpeville en Afrique du Sud.
Gaston Monnerville, né le 2 janvier 1897 à Cayenne (Guyane) et mort le 7 novembre 1991 à Paris, est un homme d’État français.
Député de la Guyane de 1932 à 1940, il est sous-secrétaire d’État aux Colonies de 1937 à 1938, président du Conseil de la République de 1947 à 1958 et du Sénat de 1958 à 1968. Gaston Monnerville, petit-fils d’un esclave2,3, est le fils de Marc Saint-Yves Monnerville, fonctionnaire de l’administration coloniale4, et de Marie-Françoise Orville. Des côtés maternel et paternel, la famille est originaire de Case-Pilote, commune de la Martinique. Son grand-père paternel, Pierre Monnerville, est un commerçant propriétaire, maire de Case-pilote, puis conseiller général de Martinique5. Son frère, Pierre Monnerville, est également engagé en politique, étant député socialiste de 1956 à 1967. (Source : Wikipedia)
L’Assemblée générale des Nations Unies a institué le 21 mars comme Journée internationale pour l’élimination de la discrimination raciale en 1966. Cette journée commémore le massacre de 69 manifestants pacifiques contre les lois de l’apartheid, le 21 mars 1960 à Sharpeville en Afrique du Sud.
Gaston Monnerville, né le 2 janvier 1897 à Cayenne (Guyane) et mort le 7 novembre 1991 à Paris, est un homme d’État français.
Député de la Guyane de 1932 à 1940, il est sous-secrétaire d’État aux Colonies de 1937 à 1938, président du Conseil de la République de 1947 à 1958 et du Sénat de 1958 à 1968. Gaston Monnerville, petit-fils d’un esclave2,3, est le fils de Marc Saint-Yves Monnerville, fonctionnaire de l’administration coloniale4, et de Marie-Françoise Orville. Des côtés maternel et paternel, la famille est originaire de Case-Pilote, commune de la Martinique. Son grand-père paternel, Pierre Monnerville, est un commerçant propriétaire, maire de Case-pilote, puis conseiller général de Martinique5. Son frère, Pierre Monnerville, est également engagé en politique, étant député socialiste de 1956 à 1967. (Source : Wikipedia)